Sambi toujours en prison depuis mai 2018
Le nouveau président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye a nommé par décret Ousmane Sonko à la Primature quelques heures après son investiture à la tête du pays ce mardi 2 avril. Il s'agit de la première mesure de sa présidence.
Au Sénégal, Bassirou Diomaye Faye a nommé mardi soir au poste de Premier ministre Ousmane Sonko, la figure-clé de son élection, selon un décret lu sur la télévision publique (RTS). « M. Ousmane Sonko est nommé Premier ministre », indique ce décret lu par le secrétaire général de la présidence de la République Oumar Samba Bâ. « Je mesure l'importance de la confiance qu'il (le président Faye) a placée en ma personne », a déclaré sur la RTS Ousmane Sonko, en le remerciant et en lui garantissant sa « loyauté » et son « dévouement ».
Le fondateur du parti des Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef), qui n’a pas pu être candidat à la présidentielle, trouve ainsi sa place dans les institutions. Il n’était pas question de laisser Bassirou Diomye Faye son candidat de substitution, gouverner seul et assumer « cette lourde tâche », comme il l’a expliqué dans une première allocution mardi soir.
Allocution d'Ousmane Sonko
« À la tête de l'équipe que nous allons former, nous donnerons tout ce que nous avons et ne ménagerons aucun effort pour atteindre ce que nous avons promis au peuple sénégalais, c'est-à-dire, la rupture, le progrès et le changement définitif dans le bon sens », a-t-il encore promis.
a diam maecenas sed. Magnis dis parturient montes nascetur ridiculus mus mauris. Purus faucibus ornare suspendisse sed.
Pendant le mois sacré du Ramadan, les délestages d'électricité peuvent avoir des conséquences graves pour les professionnels, y compris les pertes de revenus et une baisse de productivité. Les entreprises, comme les poissonneries ou bien les magasins d'alimentations en général, qui dépendent de l'électricité pour conservation leur produits et qui peuvent être fortement impacté par ces coupures fréquentes.
Chaque Chaîne de télévision, radio, ou presse écrite a besoin d'une alimentation électrique fiable pour diffuser ses programmes et journaux de manière ininterrompue. Les délestages pendant le Ramadan peuvent compromettre la qualité de diffusion et la satisfaction des téléspectateurs, auditeurs et les lecteurs mettant en péril la réputation et la crédibilité des médias.
Pour les 10 derniers jours chaque magasin doit prendre des mesures pour garantir un fonctionnement optimal pendant le mois sacré du Ramadan. Cela inclut la mise en place de solutions d'alimentation de secours et la planification des heures d'ouverture pour minimiser les perturbations causées par les délestages d'électricité. Conséquences les couts élever des produits de première nécessité.
Au sein de son pays, Azali est un dictateur absolu qui réprime toute forme d'opposition. Son régime est marqué par une corruption généralisée, comprenant des actes de corruption, des détournements de fonds et des abus de pouvoir à tous les niveaux de l'État. Pour ses réélections en 2019 et 2024, Azali a manipulé les élections et emprisonné les leaders de l'opposition pour maintenir la population dans un climat de peur et de répression. Les médias étaient soumis à un contrôle total du régime, ne diffusant que des informations favorables à Azali et réprimant toute critique.
Malgré les appels en faveur de la démocratie et des droits de l'homme, Azali et ses partisans persistent à conserver le pouvoir, exploitant les ressources du pays au détriment de sa population déjà défavorisée. Dans ce contexte, la justice est corrompue, les institutions sont affaiblies et le peuple est désillusionné. Azali exerce un règne tyrannique, tandis que la population souffre en silence, en attendant un libérateur pour réclamer sa liberté et sa dignité.
Qui contrôle véritablement le Mufti et quel est son objectif?
Pendant ce mois sacré pour tous les musulmans, le Mufti a exprimé publiquement des pensées souvent gardées en silence. Le ramadan, l'un des 5 piliers de l'islam aux Comores, est célébré par la majorité des habitants, l'islam étant la religion d'État.
En cette année 2024, la peur s'est installée dans les esprits, notamment suite aux déclarations du Mufti lors d'un prêche à la mosquée, remettant en cause la légitimité du pouvoir en place.
La vie devient de plus en plus chère dans l'archipel, avec des commerçants chassés des marchés et des coupures d'électricité rendant la conservation des denrées alimentaires impossible. La crise politique persistante entre le gouvernement et l'opposition crée une instabilité et un climat de tension constant dans le pays. Malgré ces défis, les Comoriens continuent de pratiquer leur foi pendant ce mois sacré, en observant le jeûne, en priant et en partageant des repas en famille lors de la rupture du jeûne.
Le ramadan demeure un moment de solidarité et de partage pour la population comorienne, confrontée à de nombreux défis au quotidien. Espérons que cette période de ramadan soit l'occasion pour les dirigeants et les citoyens des Comores de trouver des solutions pacifiques et durables pour sortir de la crise politique et économique, et de retrouver la paix et la stabilité tant attendues dans l'archipel.
De nombreuses interrogations subsistent quant à l'approche du Mufti, qualifiant le dirigeant en place de "voleur" des élections et imposant ses décisions de manière autoritaire.
Qui contrôle véritablement le Mufti et quel est son objectif réel derrière ces déclarations ? Considère-t-il réellement le bien-être du peuple ou cherche-t-il simplement à consolider son pouvoir ? Comment les citoyens peuvent-ils s'opposer à ses décisions sans risquer des représailles ? Qui sont ses conseillers et quelle est leur influence sur ses choix ?
MIA
Personne ne sait de quoi sera fait demain...
En provoquant le licenciement de deux inspecteurs des impôts qui denoncaient des actes de favoritisme, le directeur sénégalais des Impôts de l'époque, Amadou Ba, ne pouvait imaginer qu'il leur ouvrait un boulevard pour la présidence du pays contre lui-même.
M. Ba ne pouvait pas deviner qu'il leur donnait les armes dont ils se serviraient pour le battre aux élections présidentielles dix ans plus tard.
Et les deux jeunes inspecteurs des impôts ainsi radiés pour dénonciation d'accords et de contrats illégaux ( Bassirou Doumaye Faye et Ousmane Sonko) étaient loin de se douter que cette sanction les conduirait au sommet de l'Etat du Sénégal un jour.
Moralité : il n'y a de pouvoir que celui de Dieu, seul maître de notre destin. Ceux qui ont l'usurfruit d'un peu de puissance éphémère parmi nous devaient y réfléchir un peu avant de piétiner les autres.
Nadhifa Mohamed est une présentatrice de talent dont les questions suscitent toujours des réactions chez ses invités. Son style d'interview engageant et incisif ne laisse jamais indifferent et permet de mettre en lumière des aspects souvent peu explorés par d'autres médias. Grâce à son approche percutante et son sens de la curiosité, Nadhifa Mohamed reussi à captiver son publiquetout en offrant des enrevues riches en information et en émotions.
La foire de Marseille le stand Comores est un incontournable pour découvrir la culture et les traditions des Comores. les visiteurs peuvent admirer l'artisanat et bien encore...
Chante avec une douceur enveloppante qui apaise l'âme et le transporte vers des contrées lointaines. Ses harmonies délicates et ses paroles poétiques captivent et envoutent l'auditeur, le laissant emporté par le flot de ses chansons.
L'élection de miss Comores 1018 a été un événement spectaculaire mêlant à la fois la beauté des candidats et la richesse de la culture comorienne. Les jeunes femmes en lice pour le titre ont défilé avec élégance et mettant en valeur leur charme et leur charisme.
KASSIM OUMOURI
est un journaliste sportif très apprécié par les auditeurs et l'équipe nationale de football des Comores. Sa passion pour le sport transparaît dans ses reportages et ses commentaires, ce qui lui a valu d'être surnommé "le chouchou des auditeurs" Son professionnalisme et son expertise font de lui une figure incontournable dans le paysage médiatique sportif des Comores.
Le régime Azali est bien plus féroce que le pouvoir féodal et mercenaire d'Ahmed Abdallah aux années 80. Installer chez les Comoriens la peur au ventre, la méfiance de délation et de l'indiscrétion des proches, des amis, des voisins ou des collègues constituent les deux sentiments nourriciers qui alimentent le quotidienne existentiel pour des dizaines de milliers de personnes aujourd'hui face sous le règne d'Assoumani Azali.
Oui, oser s'opposer au dictateur Azali relève de la témérité et de l'héroïsme. C'est oser se sacrifier en martyr et il n'y a pas de volontaires à une telle posture à cause de l'absence d'idéologie et de véritable organisation militante d'actions politiques chez aucun des partis opposants déclarés. La seule force politique militante et organisée, avec une idéologie de pouvoir populaire, le parti Juwa de Sambi, fut rapidement anéanti dès les premiers mois de 2017, ses documents fondamentaux et son matériel de travail saisis, ses principaux responsables, ses leaders, animateurs et influenceurs politiques dans les villages, villes ou les régions mis aux fers dans les prisons sinistrement célèbres comme "Koki" à Ndzuwani et "Le Moroni"à Ngazidja.
MAIS D'OÙ AZALI A-T-IL PUISÉ SA FORCE ?
En tout cas, pas de la CRC ni de l'armée qui ne sont que les instruments d'Azali pour servir une stratégie bien à lui, réfléchie et assez bien rodée pour se payer de la vie des Comoriens.
Dès son arrivée au pouvoir en 2016, Azali a dissout deux piliers fondamentaux susceptibles de le freiner dans sa vision d'asseoir sa dictature. Il s'agit de la cour constitutionnelle et de la commission anticorruption. Ces deux institutions lui seraient des obstacles juridiques susceptibles de contrarier sa lancée démoniaque.
COMMENT S'EN EST-IL PRIS ?
User du non droit et de l'argent du contribuable pour régner à vie, telle reste le fond de son orientation politique et stratégique.
COMMENT ?
Grâce à un appareil de justice soumis à ses ordres, appuyée par l'usage systémique d'une corruption effrénée pour s'acheter les âmes et la conscience des magistrats, petits et grands, des ulémas, des notables, grâce à un peuple qu'il affame et prive de l'essentiel de survie (boire, manger et avoir un gite où dormir) au point de devenir facilement maniable, utilisable à toute fin utile, et grâce à une jeunesse désœuvrée, atterrée par un avenir obscur, une éducation et un enseignement au rabais, "le chômage pour un jeune", une orientation scolaire sans objectifs ni vision, Azali s'est assuré d'avoir face à lui des hommes et des femmes, zombi, esseulés, livides dont le seul effort de vie est végétatif, un minima de survie.
Le reste du corps social constitué ou non, (fonctionnaires, ouvriers, cadres techniciens, syndicats, etc...) suivra de gré ou de force poussé une vie de précarité à une certaine mendicité.
Voilà sa stratégie du pouvoir Azali du départ à l'arrivée.
Mais l'espoir fait vivre dit-on. Alors, il va distribuer au peuple affligé de malheurs divers (homicides, infanticides, viols, vols, incarcérations arbitraires, maladies et chômage endémique, buvards de vins frelatés , des fumoir de ganja, les pédérasteries, lesbiennes, pédophilie, ect...) et affamé par les nombreuses ruptures de produits nécessaires sur les marchés et les magasins, par leur inflations exponentiellement démentielles, il va, dis-je, les bercer de rêves, de chimères grâce au🎈 "émergence" devenu leur radeau de fortune auquel ses légions de crédules vont s'attacher et la CRC s'armer pour en faire leur programme somnifère socio-économique, le kwasa-kwasa de leur naufrage.
CONCLUSION.
Le reste de tous les actes posés par Azali : (assises nationales, dialogue social, diverses "élections" de gouverneurs, députés, vote de lois, élection à l'UA, dernière mascarade des présidentielles, etc..) tout au long de son long règne de cataclysmes constitue des tactiques de diversion, de détournement de l'attention de l'opinion sur ce qui fait de l'intérêt.
Azali est un vieux militaire exercé aux stratagèmes mais un vieux personnage, malicieux, peureux et plein de haine pour ses concitoyens comme Sambi, Salami, Achimet et ses autres victimes mortes ou encore en survie qui restent toujours de redoutables leaders politiques, capables de résistance politique et de soulèvement populaire et massive contre sa démesure.
Son opposition politique qu'il a subtilement infiltrée hier et aujourd'hui a creusé sa propre tombe en ne s'attaquant pas dès le début aux deux mamelles de la dictature : l'appareil judiciaire aux ordres et le système de corruption effrénée du régime comme stratégie et la diversion comme tactique.
Par l'option politique et diplomatique adoptée dès les premières années de leur combat au détriment de l'option organisationnel et idéologique a fondé l'échec de l'opposition face à la dictature du pouvoir Azali.
Le handicap majeur de l'opposition comorienne aphone aujourd'hui est t son manque d'un vrai leader politique visuel, visible sur le terrain, qui doit déterminer, volontariste, charismatique et rassembleur et non beau parleur mais très bon acteur pragmatique qui ose. Existe-t-il encore parmi nous les vivants un homme ou des hommes audacieux et courageux pour lever le défi injure d'Azali et de sa famille ?
That's our challenge today face aux assauts moribonds du pouvoir à terre de Mbaba Lokman.
Mhoumadi Sidi IBRAHIMA
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